Credit photo Sophie Grenier
Nombre d’années d’expérience
11 à 20 ans
Processus d’acquisition du savoir
Benoit Loyer, titulaire d’une maitrise en création littéraire à l’UQÀM, est actif dans le milieu du conte depuis 2009. Avec la Tribu d’Éperdus, un collectif de conteurs qu’il a cofondé, il a créé et interprété plusieurs spectacles dont Des Histoires de leur creux et Au bout du conte, en plus de participer au Festival Vue sur la Relève, au Zoofest et aux Dimanches du conte. À titre solo, il a fait plusieurs spectacles virtuels en plus d’avoir travaillé avec la compagnie le Pictographe pour concevoir et donner un atelier de contes interactifs avec les enfants de 5 à 12 ans. En 2021, il a créé son premier spectacle solo, Métro, boulot, tracteur, qui a été présenté aux Dimanches du conte. À travers sa pratique, il essaie de dépoussiérer le cœur d’enfant pour décupler l’émerveillement dans les tympans des publics qui viennent écouter ses histoires.
« Je suis originaire de Sainte-Barbe, un petit village du Haut-St-Laurent. J’ai fréquenté le cégep de Valleyfield en art et lettres, profil théâtre. Dans mon parcours scolaire, je me suis grandement familiarisé avec les arts de la scène avec, entre autres, des professeurs comme Jean-Pierre Leduc et Jean-Marc Larrue. Là, j’ai formé, avec des ami.e.s, le collectif de contes La Tribu d’Éperdus pour participer à Cégeps en spectacle. De là, nous avons continué à pratiquer le conte pendant 13 ans. Depuis, je pratique de manière solo. À travers les années, j’ai côtoyé et appris de plusieurs personnes du milieu du conte, dont Jean-Marc Massie, Francis Désilet et Myriame Yamani. Dans les dernières années, je suis retourné travailler au cégep de Valleyfield comme metteur en scène de Cégeps en spectacle et j’ai transmis mes connaissances scéniques à plusieurs étudiant.e.s qui ont participé à l’activité. »
Transmission du savoir
En travaillant pour le Cégep de Valleyfield à titre de coach d’improvisation et de metteur en scène, Benoit Loyer a transmis ses connaissances de la scène et des arts vivants à un grand nombre d’étudiant.e.s. Il a également fait quelques ateliers dans les écoles primaires et secondaires durant lesquels il répondait aux questions des élèves sur sa pratique.